Top départ

Top départ pour le stage national d’accession Précision d’Atterrissage Ascensionnel, qui se tient à @Parachutisme Laval, du 22 au 26 juillet 2024. 

Encadré par Stéphanie Texier, membre du collectif France de Précision d’Atterrissage et Voltige, ce stage mobilise les jeunes parachutistes, perfectionne leur pratique, et les incite à la poursuite de la discipline en sauts d’avion, puis, en compétition. Pour la Fédération Française de Parachutisme, ce type d’animation revêt un enjeu majeur dans le déploiement de la stratégie de détection des futurs champions et d’alimentation des pôles d’entraînement. 

C’est aussi l’occasion de remettre un paquetage fédéral aux bénévoles qui font vivre le centre école tout au long de l’année, ici, de gauche à droite : Pascal Chadaigne, Denis Duverger, Denis Bounio, Yves Raison et Alain Ménage.

Stand-by

Après avoir enchaîné les vols ce matin, stand-by pour une durée indéterminée, en raison de conditions venteuses mesurées par l’anémomètre !
“Même si l’activité a l’avantage de pouvoir être pratiquée avec un plafond nuageux bas, elle est soumise aux mêmes conditions aérologiques que le parachutisme conventionnel !” explique Stéphanie Texier, membre du collectif France de Précision d’Atterrissage et Voltige.

Quelques vols dans l’après-midi

Quelques sauts supplémentaires ont pu être effectués dans l’après-midi malgré des conditions peu favorables avec un vent irrégulier et mal orienté. Les critères n’étaient donc pas réunis pour enchaîner les vols.

Louisa et Carmen, stagiaires durant ces quelques jours, se sont tout de même élancées à 150 mètres de hauteur, une distance suffisante pour le travail d’approche, qui leur a permis d’atteindre la cible et de travailler leurs posés. Robin, quant à lui n’a eu le temps que de se mettre en place sur la plateforme de décollage, avant d’être coupé dans son élan par un vent trop fort dans la diagonale.

Yves Roisin, moniteur ascensionnel, rappelle “nous sommes avant tout une école de patience ! Dépendant de la météo et des conditions externes, comme tout sport aérien, nous devons être très attentifs aux éléments pour garantir la plus grande sécurité.” Cette vigilance se trouve encore davantage accrue avec de jeunes parachutistes, qui sont plus légers et pourraient être embarqués par la voile lors d’une rafale. Les encadrants sont les garants de l’équilibre entre plaisir, adrénaline et sûreté dans la pratique sportive.